
Je me suis levé du bon pied. J'habite une ville plutôt agréable à vivre, verdoyante et aérée. Bien sûr, il ne faut pas trop s'éloigner des quartiers résidentiels sinon ce constat ne s'applique plus. Dans la périphérie, et parfois même pas aussi loin, les maisons s'entassent sans régularité. Et les espaces verts ont depuis longtemps laissé place à des terrains vagues qui, hélas, deviennent souvent des dépotoirs à ciel ouvert. L’incivisme, hélas, n'épargne aucune classe sociale et qui s'exprime, si j'ose dire, au quotidien Il faut cependant être juste et relever les efforts qui sont n'épargne aucune classe sociale et qui s'exprime, si j'ose dire, au quotidien entrepris pour élargir les zones où il fait bon vivre et se promener.
Mais Rabat n'est pas uniquement cela. C'est une ville chargée d'Histoire et d'histoires. Et les petites histoires font souvent la grande... Je souhaite vous en raconter une qui prend sa source dans un riad de la médina de Rabat l'Andalouse. Un riad dont l'entrée ressemble à celle de la photo ci-dessus.
Cette histoire date d’un après-midi de juillet... 1921. Le Pacha de la ville, et ce titre a évidemment un poids autrement plus grand qu'aujourd'hui puisqu'il ne rendait compte qu'au Sultan, marie ses deux fils, Ahmed et Mohammed. La fête s'annonce grandiose et les préparatifs ont commencé bien des mois avant la date retenue pour l'hyménée.
A suivre.
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